Oui, l'existance est probablement le bon mot: pour favoriser la vie à long terme, c'est tout le concept de la croissance quantitative qui doit être repensé.
Et premier bémol... croissance quantitative et croissance qualitative. C'est de la première dont nous devons nous détacher. Mais restons simple, la croissance aujourd'hui est celle de la quantité dans la tête du public.
Maintenant l'existance est un terme sûrement abstrait pour un public nombreux. Ca résonne en moi comme un grand concept. auquel j'adère complètement, mais qui risque d'en effrayer plus d'un.
Pourquoi ne pas utiliser un mot simple, sur lequel chacun calquera ce qu'il veut selon sa vision du monde : lui-même, la société, l'économie, la vie:
Alors là ça devient compliqué :)
Oui, l'existance est probablement le bon mot: pour favoriser la vie à long terme, c'est tout le concept de la croissance quantitative qui doit être repensé.
Et premier bémol... croissance quantitative et croissance qualitative. C'est de la première dont nous devons nous détacher. Mais restons simple, la croissance aujourd'hui est celle de la quantité dans la tête du public.
Maintenant l'existance est un terme sûrement abstrait pour un public nombreux. Ca résonne en moi comme un grand concept. auquel j'adère complètement, mais qui risque d'en effrayer plus d'un.
Pourquoi ne pas utiliser un mot simple, sur lequel chacun calquera ce qu'il veut selon sa vision du monde : lui-même, la société, l'économie, la vie:
"Libérons-nous de la contrainte de la croissance"
Qu'en penses-tu?
David