Avec le RBI, ce sera le marché du travail qui décidera des salaires, comme maintenant. À la grande différence que chaque personne négociera seulement pour un complément de revenu au RBI qu'il touche déjà. Si on prend comme exemple un RBI à Fr. 2'500.-, toute la question sera de savoir pour quel salaire un même travail trouvera preneur. En l'occurrence, cela dépendra essentiellement de l'attractivité de l'emploi en question.
Pour chaque travail, il est possible de se poser la question « pour quel salaire serais-je d'accord de le faire ?". ». Apportez-y votre propre réponse et gageons qu'une majorité d'autres candidats à l'emploi feront le même raisonnement. Il suffit donc d'y répondre soi-même pour avoir déjà une certaine idée à quel salaire un emploi en particulier sera proposé, en se rappelant bien sûr que nous sommes tou(te)s différent(e)s et à supposer que l’emploi en question ne soit pas rapidement automatisé…
Merci pour votre très intéressante question.
Avec le RBI, ce sera le marché du travail qui décidera des salaires, comme maintenant. À la grande différence que chaque personne négociera seulement pour un complément de revenu au RBI qu'il touche déjà. Si on prend comme exemple un RBI à Fr. 2'500.-, toute la question sera de savoir pour quel salaire un même travail trouvera preneur. En l'occurrence, cela dépendra essentiellement de l'attractivité de l'emploi en question. Pour chaque travail, il est possible de se poser la question « pour quel salaire serais-je d'accord de le faire ?". ». Apportez-y votre propre réponse et gageons qu'une majorité d'autres candidats à l'emploi feront le même raisonnement. Il suffit donc d'y répondre soi-même pour avoir déjà une certaine idée à quel salaire un emploi en particulier sera proposé, en se rappelant bien sûr que nous sommes tou(te)s différent(e)s et à supposer que l’emploi en question ne soit pas rapidement automatisé…