Romain Felli n'est pas hostile par principe au revenu de base inconditonnel, mais il estime que les initiateurs de l'initiative populaire, tant alémaniques que romands. défendent la vision la plus néo-libérale d'un revenu de base. Albert Jörimann, Président de BIEN-Suisse, lui répond :
« On peut organiser le revenu de base de manière à ce que les salaires ne soient pas diminués ou "flexibilisés" au profit de entreprises. Dans les rangs des partisans du revenu de base, il y a aussi des gens du courant libéral, assez intelligents pour ne pas viser la ruine des plus démunis ni la suppression des prestations sociales…»
Ci-dessous, les deux articles parus dans Le Courrier en avril 2012 :
Commentaires :
En résumé
Reste à ces gens-là à se rencontrer pour clarifier leurs positions...