Ce petit texte ne se veut pas un compte-rendu, bien entendu, et vous remarquerez que tout le monde en prend pour son grade, de gauche à droite. Donc, prenons ceci pour ce qu'il est, c'est à dire une satyre, sensée faire sourire les visiteurs de ce blog - si ce n'est pas encore interdit.
Mais derrière la caricature se cache souvent une part de vérité. En effet, je pense que ce débat est trop intellectualisé, non seulement ici, lors de cette soirée, mais un peu partout, y compris chez les partisans du RBI, alors que le problème se situe plus simplement au niveau de la dignité humaine, comme l'a rappelé si justement Gabriel Barta. Et financièrement, il peut être réalisé demain matin, si l'on veut. Alors, de quoi parle-t-on? On prophétise beaucoup aujourd'hui, on suppute, on imagine que, mais à mon sens, le résultat de la mise en oeuvre d'une telle mesure serait si vaste dans la société qu'il est bien difficile d'en évaluer toutes les conséquences. Sinon, sans doute, la suppression de la misère, ce qui serait vraiment une bonne chose.
Commentaire :
salon bleu
Cher détractrice,
Ce petit texte ne se veut pas un compte-rendu, bien entendu, et vous remarquerez que tout le monde en prend pour son grade, de gauche à droite. Donc, prenons ceci pour ce qu'il est, c'est à dire une satyre, sensée faire sourire les visiteurs de ce blog - si ce n'est pas encore interdit.
Mais derrière la caricature se cache souvent une part de vérité. En effet, je pense que ce débat est trop intellectualisé, non seulement ici, lors de cette soirée, mais un peu partout, y compris chez les partisans du RBI, alors que le problème se situe plus simplement au niveau de la dignité humaine, comme l'a rappelé si justement Gabriel Barta. Et financièrement, il peut être réalisé demain matin, si l'on veut. Alors, de quoi parle-t-on? On prophétise beaucoup aujourd'hui, on suppute, on imagine que, mais à mon sens, le résultat de la mise en oeuvre d'une telle mesure serait si vaste dans la société qu'il est bien difficile d'en évaluer toutes les conséquences. Sinon, sans doute, la suppression de la misère, ce qui serait vraiment une bonne chose.
Jean-Luc Guignard